Posté : mar. avr. 12, 2011 21:15 pm
Bonjour,
Je suis nouveau sur ce forum et m'intéresse depuis peu à la problématique du solaire. Je suis d'abord passé sur le site de "BBySun" où j'ai été assez séduit par le capteur à tube ATMOS autovidabgeable.
J'ai même fait quelques simulations sur tableur dans le cas d'un chauffage basse température.
Découvrant ensuite votre site j'ai été un peu surpris de lire l'article comparant la technologie à tubes sous vide et les capteurs plans. J'en reste assez perturbé, ne parvenant pas à y voir clair et trouvant même cet article un peu de parti pris.
Cet article fait la comparaison sur un point de fonctionnement Go=500W/m2 qui me semble être d'emblé favorable au capteur plan alors que la réalité du terrain pourrait être tout à fait différente.
J'habite le pays Basque et j'ai trouvé un site de la communauté européenne qui fournit le profil journalier moyen de l'énergie incidente Po en un lieu donné sur une surface d'une certaine inclinaison et d'une certaine orientation pour un mois donné. J'ai pris 22° et plein sud pour le cas de mon toit.
La courbe en forme de quasi sinusoide culmine, pour les mois d'hiver, à 350 W/m2 pour le jour moyen et certes à 680 pour les jours de ciel clair. Les données météo que j'ai récupérées par ailleurs montrent qu'il y a eu seulement 3 jour de ciel clair en Janvier , mois où le besoin de chauffage est proche du maximum.
Sur le tableau suivant j'ai refait le calcul du rendement pour 3 capeturs et pour différentes valeurs de Po. Le capteur à tubes de l'article, le capteur GN tinox et le capteur ATMOS pour Dt=30°C. Le tableau des résultats est joint.
Pour les deux capteurs de l'article, on se rend compte que pour les puissances inférieures à 350W/m2 c'est le capteur à tubes qui l'emporte.
Quant au capteur ATMOS qui est commercialisé à 100 euros/m2 il est toujours largement devant.
Où dois-je chercher l'erreur?
Merci.
Je suis nouveau sur ce forum et m'intéresse depuis peu à la problématique du solaire. Je suis d'abord passé sur le site de "BBySun" où j'ai été assez séduit par le capteur à tube ATMOS autovidabgeable.
J'ai même fait quelques simulations sur tableur dans le cas d'un chauffage basse température.
Découvrant ensuite votre site j'ai été un peu surpris de lire l'article comparant la technologie à tubes sous vide et les capteurs plans. J'en reste assez perturbé, ne parvenant pas à y voir clair et trouvant même cet article un peu de parti pris.
Cet article fait la comparaison sur un point de fonctionnement Go=500W/m2 qui me semble être d'emblé favorable au capteur plan alors que la réalité du terrain pourrait être tout à fait différente.
J'habite le pays Basque et j'ai trouvé un site de la communauté européenne qui fournit le profil journalier moyen de l'énergie incidente Po en un lieu donné sur une surface d'une certaine inclinaison et d'une certaine orientation pour un mois donné. J'ai pris 22° et plein sud pour le cas de mon toit.
La courbe en forme de quasi sinusoide culmine, pour les mois d'hiver, à 350 W/m2 pour le jour moyen et certes à 680 pour les jours de ciel clair. Les données météo que j'ai récupérées par ailleurs montrent qu'il y a eu seulement 3 jour de ciel clair en Janvier , mois où le besoin de chauffage est proche du maximum.
Sur le tableau suivant j'ai refait le calcul du rendement pour 3 capeturs et pour différentes valeurs de Po. Le capteur à tubes de l'article, le capteur GN tinox et le capteur ATMOS pour Dt=30°C. Le tableau des résultats est joint.
Pour les deux capteurs de l'article, on se rend compte que pour les puissances inférieures à 350W/m2 c'est le capteur à tubes qui l'emporte.
Quant au capteur ATMOS qui est commercialisé à 100 euros/m2 il est toujours largement devant.
Où dois-je chercher l'erreur?
Merci.