Projet capteurs tubes vide
Modérateurs : ramses, Balajol, monteric, ametpierre, j2c, françois34
Bonjour à toutes et tous,
Et tout d’abord veuillez m’excuser de la longueur de mon message
Inscrit récemment sur ce forum, je l’ai parcouru de très nombreuses fois depuis un an en tant qu’invité, afin de trouver des solutions techniques me permettant de réduire au maximum les consommations en énergie fossile liées au chauffage et à l’ECS de la maison que j’occupe dans les Pyrénées Atlantiques avec mon épouse et mes deux enfants adultes.
Dans le milieu des années 80 j’ai fait construire dans un petit village au nord de Pau une néo-béarnaise, maison en L, orientée plein sud et constituée :
- sous toute la surface de la maison d’un sous-sol élevé en parpaing creux de 27 cm sur 2,20 m de hauteur entièrement enterré,
- d’un RdC de 150 m2 bâti en parpaing creux de 20 cm sur une hauteur nette de 2,50 m, les murs extérieurs étant isolés sur leurs faces internes par 8 cm de polystyrène (2 couches décalées d’épaisseur 4 cm) et par une cloison en carreaux de plâtre de 5 cm d’épaisseur. Les menuiseries sont en bois avec double vitrage 4-8-4 occultées par des volets battants en bois. Le sol est une dalle en béton armé de 20 cm d’épaisseur (poutrelle, hourdis, treillis soudé, béton) sur laquelle est déposée une isolation de 6 cm de polystyrène (2 couches croisées 2 cm + 4 cm) supportant un réseau de tube Alphacan Retube PER A 16x1,5 (10 boucles, pas de 15 cm … de mémoire) enrobé de 6 cm de béton et fini par un carrelage de 1 cm d’épaisseur,
- d’un étage sous comble (pente de 38°) d’une superficie de 90 m2 (60 m2 d’une hauteur de 2,50 m). La toiture (tuiles en terre cuite) est entièrement isolée par 19 cm de laine de roche en 2 couches (7 cm entre chevrons + 12 cm) et finie par des plaques de plâtre de 1,3 cm (BA13). La face nord dispose de 3 fenêtres de toit et la façade sud de 3 lucarnes (à fronton-pignon + croupe) ainsi que d’un balcon intérieur de 1,7 m de large, fermé côté intérieur par une porte-fenêtre bois avec double-vitrage 4-12-4 et côté extérieur par une porte-fenêtre bois et des éléments fixes en bois vitrés en 4-12-4. Le sol est une dalle béton (idem RdC) sur laquelle des tasseaux de 4x4 cm ont été disposés pour supporter des panneaux de particules, rainurés et bouvetés, de 1,9 cm d’épaisseur, la finition étant assurée par une sous-couche polyéthylène de 2 mm d’épaisseur recouverte d’un parquet stratifié de 8 mm environ d’épaisseur.
Le chauffage de l’eau entre 35° et 40° circulant dans le plancher du RdC est fournie par une chaudière Vies…n basse température de 20 ans d’âge (sonde extérieur sur la façade nord, vanne motorisée 4 voies) située en sous-sol et alimentée en propane par une citerne de 2000 litres (= 1 tonne) implantée sur le terrain. Le chauffage des combles est assuré par 2 panneaux rayonnants (1000 W et 1500 W) rarement utilisés et 2 autres panneaux rayonnants (2 x 2000 W) utilisés à faible allure pendant les périodes froides. En hiver la température maintenue au RdC et à l’étage est à peu près constante, entre 19° et 22° selon les pièces. L’ECS provient d’un cumulus de 200 litres alimenté en propane par la citerne.
La consommation moyenne de propane sur une période de 12 ans est de 1.566 tonnes ce qui équivaut à 21 600 KW. Ce que je trouve important mais pas franchement énorme avec quatre personnes !
La part imputable à l’ECS n’est pas facile à déterminée mais est relativement importante, les cumulus gaz avec veilleuse permanente étant très gourmands d’après les chauffagistes interrogés. Il faut dire que quotidiennement chacun prend au moins une douche sinon deux, l’eau provenant d’un puits de 1 m de diamètre sur 10 m de profondeur, foré pendant la construction de la maison (pompe immergée, réserve sous pression de 100 litres).
J’ai le projet, depuis plus d’un an, de ne plus dépendre, pour le chauffage du PC et de l’ECS, d’une énergie fossile comme le propane. Malgré qu’actuellement le soleil n’ai pas daigné se montrer et ce depuis près de quinze jours (nuages et pluies abondantes) j’envisage de me séparer, dans un premier temps, du cumulus et d’installer des capteurs thermiques (à tubes ?) associés à des ballons pour l’ECS et le chauffage du PC tout en gardant la chaudière pour assurer la totalité ou le complément des besoins calorifiques dans les périodes avec peu ou pas de production thermique solaire. Dans un second temps je remplacerai mes rayonnants de l’étage par des radiateurs basse température, la place pouvant être trouvée pour les installer soit verticalement soit horizontalement sans trop bouleverser l’agencement des pièces. Puis si la production de l’énergie solaire démontre sa fiabilité je me propose finalement de remplacer la chaudière gaz par une au bois, chênes et châtaigniers pouvant être fournis localement, en payant bien sûr.
Les panneaux solaires seraient posés dans le jardin, ne pouvant les installer sur le toit à cause des lucarnes, du manque de place au-dessus et au-dessous de celles-ci, de la présence de gros chênes à l’est et de l’avancée (balcon) à l’ouest. Ils seraient installés plein sud à une distance de la chaufferie d’environ 25 m, au-dessus du mur de clôture qui est un mur de soutènement (2 m de hauteur à partir de la rue, 0,60 m côté jardin), en remplacement d’une partie de haie de cupressus de 2,5 m de haut. L’espace sous les capteurs pourrait servir à entreposer le bois employé pour quelques flambées dans la cheminée du salon à l’intersaison.
Cet été j’ai fait réaliser 2 devis par des sociétés implantées localement :
- 17 000 € TTC (matériel = 15 150 €) : 2 CPC 45 ST.. AZ.. (2x 4,9 m2), ballon 300 l, régulation Sy… Confort, liaison solaire isolée, pose et mise en service incluses, tranchée et terrasse non comprises.
- 17 400 € TTC (matériel = 13 300 €) : 3 CPC ST.. AZ .. ( ? m2), ballon combiné TIT.. Aq.. 600 l, station solaire STA… , régulation Sy… Confort, liaison isolée Arma..x 13 mm, pose et mise en service incluses, tranchée et terrasse non comprises.
M’étant promené sur des sites internet comme By..n, L’Ed…ce, … il m’est apparu que le coût du matériel proposé était de beaucoup inférieur à celui pratiqué par ces installateurs ; entre 2 et 3 fois moins pour, semble-t-il, du matériel comparable ! Par contre le coût de la main d’œuvre étant assez faible, ces professionnels ont trouvé là assurément un gain substantiel immédiat en majorant leurs factures du montant du crédit d’impôt de 50 % accordé pour l’acquisition de tels matériels en s’approchant du plafond retenu de 16 000 €. Un petit calcul m’a suffit pour comprendre que le contribuable ne bénéficie finalement d’aucun avantage.
Matériel + MO = Total - Crédit Impôt = Montant réel déboursé
15 000 € + 2 500 € = 17 500 € - 7 500 € = 10 000 €
7 500 € + 2 500 € = 10 000 € - 0 € = 10 000 €
D’où l’idée de réaliser moi-même ce projet, étant un assez bon bricoleur.
Mais je me pose toujours un tas de questions concernant :
- l’isolation de la maison est-elle dans les normes ? Lesquelles ?
- quelle surface et quel type de capteurs faut-il ?
- combien de ballons et quels volumes acheter?
- Quelle régulation choisir ?
- Vannes motorisées en 24 V ou 220 V ?
- … et d’autres questions qui viendront après moult cogitations.
Merci à toutes et tous pour vos remarques (même désagréables), vos solutions, vos conseils.
Et tout d’abord veuillez m’excuser de la longueur de mon message
Inscrit récemment sur ce forum, je l’ai parcouru de très nombreuses fois depuis un an en tant qu’invité, afin de trouver des solutions techniques me permettant de réduire au maximum les consommations en énergie fossile liées au chauffage et à l’ECS de la maison que j’occupe dans les Pyrénées Atlantiques avec mon épouse et mes deux enfants adultes.
Dans le milieu des années 80 j’ai fait construire dans un petit village au nord de Pau une néo-béarnaise, maison en L, orientée plein sud et constituée :
- sous toute la surface de la maison d’un sous-sol élevé en parpaing creux de 27 cm sur 2,20 m de hauteur entièrement enterré,
- d’un RdC de 150 m2 bâti en parpaing creux de 20 cm sur une hauteur nette de 2,50 m, les murs extérieurs étant isolés sur leurs faces internes par 8 cm de polystyrène (2 couches décalées d’épaisseur 4 cm) et par une cloison en carreaux de plâtre de 5 cm d’épaisseur. Les menuiseries sont en bois avec double vitrage 4-8-4 occultées par des volets battants en bois. Le sol est une dalle en béton armé de 20 cm d’épaisseur (poutrelle, hourdis, treillis soudé, béton) sur laquelle est déposée une isolation de 6 cm de polystyrène (2 couches croisées 2 cm + 4 cm) supportant un réseau de tube Alphacan Retube PER A 16x1,5 (10 boucles, pas de 15 cm … de mémoire) enrobé de 6 cm de béton et fini par un carrelage de 1 cm d’épaisseur,
- d’un étage sous comble (pente de 38°) d’une superficie de 90 m2 (60 m2 d’une hauteur de 2,50 m). La toiture (tuiles en terre cuite) est entièrement isolée par 19 cm de laine de roche en 2 couches (7 cm entre chevrons + 12 cm) et finie par des plaques de plâtre de 1,3 cm (BA13). La face nord dispose de 3 fenêtres de toit et la façade sud de 3 lucarnes (à fronton-pignon + croupe) ainsi que d’un balcon intérieur de 1,7 m de large, fermé côté intérieur par une porte-fenêtre bois avec double-vitrage 4-12-4 et côté extérieur par une porte-fenêtre bois et des éléments fixes en bois vitrés en 4-12-4. Le sol est une dalle béton (idem RdC) sur laquelle des tasseaux de 4x4 cm ont été disposés pour supporter des panneaux de particules, rainurés et bouvetés, de 1,9 cm d’épaisseur, la finition étant assurée par une sous-couche polyéthylène de 2 mm d’épaisseur recouverte d’un parquet stratifié de 8 mm environ d’épaisseur.
Le chauffage de l’eau entre 35° et 40° circulant dans le plancher du RdC est fournie par une chaudière Vies…n basse température de 20 ans d’âge (sonde extérieur sur la façade nord, vanne motorisée 4 voies) située en sous-sol et alimentée en propane par une citerne de 2000 litres (= 1 tonne) implantée sur le terrain. Le chauffage des combles est assuré par 2 panneaux rayonnants (1000 W et 1500 W) rarement utilisés et 2 autres panneaux rayonnants (2 x 2000 W) utilisés à faible allure pendant les périodes froides. En hiver la température maintenue au RdC et à l’étage est à peu près constante, entre 19° et 22° selon les pièces. L’ECS provient d’un cumulus de 200 litres alimenté en propane par la citerne.
La consommation moyenne de propane sur une période de 12 ans est de 1.566 tonnes ce qui équivaut à 21 600 KW. Ce que je trouve important mais pas franchement énorme avec quatre personnes !
La part imputable à l’ECS n’est pas facile à déterminée mais est relativement importante, les cumulus gaz avec veilleuse permanente étant très gourmands d’après les chauffagistes interrogés. Il faut dire que quotidiennement chacun prend au moins une douche sinon deux, l’eau provenant d’un puits de 1 m de diamètre sur 10 m de profondeur, foré pendant la construction de la maison (pompe immergée, réserve sous pression de 100 litres).
J’ai le projet, depuis plus d’un an, de ne plus dépendre, pour le chauffage du PC et de l’ECS, d’une énergie fossile comme le propane. Malgré qu’actuellement le soleil n’ai pas daigné se montrer et ce depuis près de quinze jours (nuages et pluies abondantes) j’envisage de me séparer, dans un premier temps, du cumulus et d’installer des capteurs thermiques (à tubes ?) associés à des ballons pour l’ECS et le chauffage du PC tout en gardant la chaudière pour assurer la totalité ou le complément des besoins calorifiques dans les périodes avec peu ou pas de production thermique solaire. Dans un second temps je remplacerai mes rayonnants de l’étage par des radiateurs basse température, la place pouvant être trouvée pour les installer soit verticalement soit horizontalement sans trop bouleverser l’agencement des pièces. Puis si la production de l’énergie solaire démontre sa fiabilité je me propose finalement de remplacer la chaudière gaz par une au bois, chênes et châtaigniers pouvant être fournis localement, en payant bien sûr.
Les panneaux solaires seraient posés dans le jardin, ne pouvant les installer sur le toit à cause des lucarnes, du manque de place au-dessus et au-dessous de celles-ci, de la présence de gros chênes à l’est et de l’avancée (balcon) à l’ouest. Ils seraient installés plein sud à une distance de la chaufferie d’environ 25 m, au-dessus du mur de clôture qui est un mur de soutènement (2 m de hauteur à partir de la rue, 0,60 m côté jardin), en remplacement d’une partie de haie de cupressus de 2,5 m de haut. L’espace sous les capteurs pourrait servir à entreposer le bois employé pour quelques flambées dans la cheminée du salon à l’intersaison.
Cet été j’ai fait réaliser 2 devis par des sociétés implantées localement :
- 17 000 € TTC (matériel = 15 150 €) : 2 CPC 45 ST.. AZ.. (2x 4,9 m2), ballon 300 l, régulation Sy… Confort, liaison solaire isolée, pose et mise en service incluses, tranchée et terrasse non comprises.
- 17 400 € TTC (matériel = 13 300 €) : 3 CPC ST.. AZ .. ( ? m2), ballon combiné TIT.. Aq.. 600 l, station solaire STA… , régulation Sy… Confort, liaison isolée Arma..x 13 mm, pose et mise en service incluses, tranchée et terrasse non comprises.
M’étant promené sur des sites internet comme By..n, L’Ed…ce, … il m’est apparu que le coût du matériel proposé était de beaucoup inférieur à celui pratiqué par ces installateurs ; entre 2 et 3 fois moins pour, semble-t-il, du matériel comparable ! Par contre le coût de la main d’œuvre étant assez faible, ces professionnels ont trouvé là assurément un gain substantiel immédiat en majorant leurs factures du montant du crédit d’impôt de 50 % accordé pour l’acquisition de tels matériels en s’approchant du plafond retenu de 16 000 €. Un petit calcul m’a suffit pour comprendre que le contribuable ne bénéficie finalement d’aucun avantage.
Matériel + MO = Total - Crédit Impôt = Montant réel déboursé
15 000 € + 2 500 € = 17 500 € - 7 500 € = 10 000 €
7 500 € + 2 500 € = 10 000 € - 0 € = 10 000 €
D’où l’idée de réaliser moi-même ce projet, étant un assez bon bricoleur.
Mais je me pose toujours un tas de questions concernant :
- l’isolation de la maison est-elle dans les normes ? Lesquelles ?
- quelle surface et quel type de capteurs faut-il ?
- combien de ballons et quels volumes acheter?
- Quelle régulation choisir ?
- Vannes motorisées en 24 V ou 220 V ?
- … et d’autres questions qui viendront après moult cogitations.
Merci à toutes et tous pour vos remarques (même désagréables), vos solutions, vos conseils.
bonsoir,
2 remarques......pour le crédit d'impôt et les aides.....bravo la france
puisque ça sort de ta poche et de la mienne.
pour les électrovannes motorisées 220 volts
tu peux intercepter la commande de celle de la wiessman et basculer sur l'autre.....
c'est ce que je fait.(4 voies sur wiessman et je passe sur 4 voies sortie cuve"bricot dépotoir" de réserve avec ma régulation existante,piloté par milénium et sonde pt1000)
et plus courant en 220 v.
et puis il y a des onduleurs pour les jours d'orages.
c'est tout pour le moment.
cordialement gérard
2 remarques......pour le crédit d'impôt et les aides.....bravo la france
puisque ça sort de ta poche et de la mienne.
pour les électrovannes motorisées 220 volts
tu peux intercepter la commande de celle de la wiessman et basculer sur l'autre.....
c'est ce que je fait.(4 voies sur wiessman et je passe sur 4 voies sortie cuve"bricot dépotoir" de réserve avec ma régulation existante,piloté par milénium et sonde pt1000)
et plus courant en 220 v.
et puis il y a des onduleurs pour les jours d'orages.
c'est tout pour le moment.
cordialement gérard
- p_bricoleur
- Modérateur
- Messages : 1671
- Enregistré le : mar. déc. 27, 2005 10:37 am
- Localisation : Rueil-Malmaison (92)
- Contact :
Bonjour,
Sur l'isolation, la description que tu fais est celle d'une maison plutôt bien isolée, bien mieux que la moyenne française en tout cas.
Je pense que tu ne dois pas être loin de la RT2000, mais ce n'est pas une référence : en France, on est pas exigeant.
La surface chauffée est de 150+60+15 (comptons les sous-pentes pour moitié), soit environ 225 m².
La consommation chauffage+ECS est environ 21600/225 = 96 kWh/m2/an.
La moyenne française est à 210...
Sur le bilan énergétique standard (DPE), de A (logement économe) à G (logement énergivore), ta maison aurait "C".
Bien sûr, B c'est mieux, mais passer de C à B en rénovation est difficile.
Pour B, il faut moins 81 kWh/m²/an.
Par contre, le bilan d'émission de gaz à effet de serre n'est pas terrible puisque 100% de l'énergie vient du fossile (propane fabriqué à partir de pétrole).
Avec le propane, la combustion d'une tonne de méthane produit 3 tonnes de CO2
Edit p_bricoleur suite à relecture
[s](3 fois plus que le gaz naturel, qui est en plus 10% plus énergétique).[/s]
Le gaz naturel est bien 10% plus énergétique que le propane au kg de gaz brûlé.
Mais la quantité de CO2 générée à même masse de gaz brûlée est équivalente entre gaz naturel et propane.
fin Edit
Tu génères donc 4,7 tonnes de CO2 par an.
Ce qui fait 4700/225 = 21 kg/m2/an
Ce qui donne "D" sur l'échelle DPE des gaz à effets de serre, qui va de A (faible émission) à G.
Cordialement
Sur l'isolation, la description que tu fais est celle d'une maison plutôt bien isolée, bien mieux que la moyenne française en tout cas.
Je pense que tu ne dois pas être loin de la RT2000, mais ce n'est pas une référence : en France, on est pas exigeant.
La surface chauffée est de 150+60+15 (comptons les sous-pentes pour moitié), soit environ 225 m².
La consommation chauffage+ECS est environ 21600/225 = 96 kWh/m2/an.
La moyenne française est à 210...
Sur le bilan énergétique standard (DPE), de A (logement économe) à G (logement énergivore), ta maison aurait "C".
Bien sûr, B c'est mieux, mais passer de C à B en rénovation est difficile.
Pour B, il faut moins 81 kWh/m²/an.
Par contre, le bilan d'émission de gaz à effet de serre n'est pas terrible puisque 100% de l'énergie vient du fossile (propane fabriqué à partir de pétrole).
Avec le propane, la combustion d'une tonne de méthane produit 3 tonnes de CO2
Edit p_bricoleur suite à relecture
[s](3 fois plus que le gaz naturel, qui est en plus 10% plus énergétique).[/s]
Le gaz naturel est bien 10% plus énergétique que le propane au kg de gaz brûlé.
Mais la quantité de CO2 générée à même masse de gaz brûlée est équivalente entre gaz naturel et propane.
fin Edit
Tu génères donc 4,7 tonnes de CO2 par an.
Ce qui fait 4700/225 = 21 kg/m2/an
Ce qui donne "D" sur l'échelle DPE des gaz à effets de serre, qui va de A (faible émission) à G.
Cordialement
- YvesBr
- Maitre Solaire
- Messages : 1421
- Enregistré le : lun. mars 20, 2006 23:54 pm
- Localisation : Moselle - aéroport 57
Les capteurs à tubes permettent d'obtenir des température plus élevées, mais sont en général plus chers. Avec la possibilité de travailler à basse température (plancher chauffant) le recours au capteurs plans me semble adapté, le rendement devrait être satisfaisant.ARROYO a écrit :- quelle surface et quel type de capteurs faut-il ?
Pour la surface, c'est un compromis entre le coût et le taux de couverture.
C'est lié à la surface de capteurs. Pour le nombre, moins il y en a, plus la gestion en est simple. Cependant, on peut être limité par la taille (hauteur, passage de portes)- combien de ballons et quels volumes acheter?
Yves
bonjour,
connait-tu??
http://ines.solaire.free.fr/chaufsol.php
logiciel calsol......attention il est paramétré par défaut sur paris
a toi de voir la ville qui a la météo la plus proche.
tu as aussi la bible du plombier hervé sylve.
avec google tu doid trouver.
pour les pt 1000 et pt100....c'est uen résistance variable linéaire en platine qui fait 2mm*3mm
tu peux voir ça dans ma galerie privée....pour la photo..
donc la pt1000 fait 1000 ohms a o degré avec une pente de 3.9 ohms par degré et la pt 100......100 ohms a 0 degré la pente de 0.39 ohms par degré.....
indispensable de lire et imprimer les 3 différentes platine de montages qui sont dans APPER ;;;en haut de la page d'acceuil tu as le lien...
si t'es pas fortiche en électronique.....il y a toujours des solutions....dans le coin de pau ,il y a un paquet de radio amateur comme moi....qui peuvent te donner un coup de main.(éric martinet du 09 a fait tirer ça platine par une boite a toulouse.)
ces sondes faites en pt1000 (conrad) avec la platine par expl de bernard42 que j'ai monté ,reviennent moins chères que les sondes crouzet...
étant bien entendu que c'est pour monter au cul du millélium ....voir andré bayle et son site perso.
on apprend a programmer.....dans de cas...rien a voir avec du c+.
bonne lecture et a bientôt
cordialement gérard.
connait-tu??
http://ines.solaire.free.fr/chaufsol.php
logiciel calsol......attention il est paramétré par défaut sur paris
a toi de voir la ville qui a la météo la plus proche.
tu as aussi la bible du plombier hervé sylve.
avec google tu doid trouver.
pour les pt 1000 et pt100....c'est uen résistance variable linéaire en platine qui fait 2mm*3mm
tu peux voir ça dans ma galerie privée....pour la photo..
donc la pt1000 fait 1000 ohms a o degré avec une pente de 3.9 ohms par degré et la pt 100......100 ohms a 0 degré la pente de 0.39 ohms par degré.....
indispensable de lire et imprimer les 3 différentes platine de montages qui sont dans APPER ;;;en haut de la page d'acceuil tu as le lien...
si t'es pas fortiche en électronique.....il y a toujours des solutions....dans le coin de pau ,il y a un paquet de radio amateur comme moi....qui peuvent te donner un coup de main.(éric martinet du 09 a fait tirer ça platine par une boite a toulouse.)
ces sondes faites en pt1000 (conrad) avec la platine par expl de bernard42 que j'ai monté ,reviennent moins chères que les sondes crouzet...
étant bien entendu que c'est pour monter au cul du millélium ....voir andré bayle et son site perso.
on apprend a programmer.....dans de cas...rien a voir avec du c+.
bonne lecture et a bientôt
cordialement gérard.
re.....
pour arroyo
au cas ou tu ne trouverais pas dans apper:
http://www.apper-solaire.org/jules/sondes/sondes.html
pour arroyo
au cas ou tu ne trouverais pas dans apper:
http://www.apper-solaire.org/jules/sondes/sondes.html
bonsoir,
a ton service ,
mais tu as déjà pas mal de conseil dont celui pour ton install de panneaux capteurs plans....du groupement.
enfin si tu as de la place dans le jardin
voilà, content de voir que des gars simpas disent que c'est bien!!!
ici on échange nos compétences, donc a charge de revanche....
a plus
bonnes études....car meme en montage pour moi, je modifie pas mal de truc ....donc ça traine.
cordialement gérard
a ton service ,
mais tu as déjà pas mal de conseil dont celui pour ton install de panneaux capteurs plans....du groupement.
enfin si tu as de la place dans le jardin
voilà, content de voir que des gars simpas disent que c'est bien!!!
ici on échange nos compétences, donc a charge de revanche....
a plus
bonnes études....car meme en montage pour moi, je modifie pas mal de truc ....donc ça traine.
cordialement gérard
Bonsoir,
Une petite précision sur les sondes platine.
Effectivement, PT100 = Sonde platine 100 ohms à 0°C et PT1000 = Sonde platine 1000 ohms à 0°C.
Mais alors, laquelle doit ont utiliser pour une mesure de température de type 'domestique'?
Pour ma part, je choisi la sonde PT1000 car les mesures de température seront moins 'perturbées' par la qualité - ou non qualité - du câble reliant la sonde au contrôleur. En effet, l'influence du câble sera 10 x moins importante que dans l'utilisation d'une sonde PT100.
Voila voila voila,
F.MYKIETA
Une petite précision sur les sondes platine.
Effectivement, PT100 = Sonde platine 100 ohms à 0°C et PT1000 = Sonde platine 1000 ohms à 0°C.
Mais alors, laquelle doit ont utiliser pour une mesure de température de type 'domestique'?
Pour ma part, je choisi la sonde PT1000 car les mesures de température seront moins 'perturbées' par la qualité - ou non qualité - du câble reliant la sonde au contrôleur. En effet, l'influence du câble sera 10 x moins importante que dans l'utilisation d'une sonde PT100.
Voila voila voila,
F.MYKIETA