bonjour
Est ce vraiment utile de mettre de l'antigel pour les capteurs à tube caloduc puisque le liquide du caloduc est bien isolé ainsi que le collecteur ?
En plus le soir ils partent d'une température assez haute.
Ceux qui sont déjà équipés de ces capteurs , peuvent il mesurer les températures suivantes
- température du collecteur au couché du soleil
- température cu collecteur à l'aube
- température extérieur à l'aube
Ce serait bien d'avoir ces valeurs en hiver aussi.....
Merci
Sigou
gel des capteurs à tube, info ou intox ?
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- treblig
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Bonjour aux sous-vidistes,
Puisqu'on parle de gel, quel glycol utilisez-vous qui satisfasse aux températures des capteurs sous vide et qui soit en conformité avec l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (fluides caloporteurs pouvant être utilisés dans les installations de traitement thermique) ?
Je m'intéressais au TYFOCOR LS, prévu pour les tubes sous-vide selon le fabricant, qui semble bien tenir même aux environs de 300°C, donc OK pour les températures de stagnation, mais il n'est pas agréé pour les systèmes à simple échangeur. Voir l'avis http://www.afssa.fr/Ftp/Afssa/33031-33032.pdf.
Tous les glycols autorisés (du moins ceux que j'ai vus) sur ce site ne "montent" pas bien haut en température.
Le TYFOCOR L "tient" jusqu'à environ 170°C avant de se dégrader mais il est agréé.
Avez-vous trouvé un glycol agréé qui "tienne" ou avez-vous fait un compromis (tenue en température, surveillance plus fréquente du glycol) ou êtes-vous passé en double échangeur ?
Merci
PS : bonjour aux non sous-vidistes aussi mais le problème de température est semble-t-il plus lié au "sous-vide" que "plan"
Puisqu'on parle de gel, quel glycol utilisez-vous qui satisfasse aux températures des capteurs sous vide et qui soit en conformité avec l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (fluides caloporteurs pouvant être utilisés dans les installations de traitement thermique) ?
Je m'intéressais au TYFOCOR LS, prévu pour les tubes sous-vide selon le fabricant, qui semble bien tenir même aux environs de 300°C, donc OK pour les températures de stagnation, mais il n'est pas agréé pour les systèmes à simple échangeur. Voir l'avis http://www.afssa.fr/Ftp/Afssa/33031-33032.pdf.
Tous les glycols autorisés (du moins ceux que j'ai vus) sur ce site ne "montent" pas bien haut en température.
Le TYFOCOR L "tient" jusqu'à environ 170°C avant de se dégrader mais il est agréé.
Avez-vous trouvé un glycol agréé qui "tienne" ou avez-vous fait un compromis (tenue en température, surveillance plus fréquente du glycol) ou êtes-vous passé en double échangeur ?
Merci
PS : bonjour aux non sous-vidistes aussi mais le problème de température est semble-t-il plus lié au "sous-vide" que "plan"
- p_bricoleur
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Bonjour,
C'est un problème général aussi sur les capteurs plans.
Pendant l'été 2003, un ensemble de mesures a été mené sur quelques cateurs plans du marché européen.
En stagnation en plein midi en juillet, les capteurs atteignaient tous entre 155 et 210°.
La différence est que les capteurs à tubes semblent supporter moins bien les très hautes températures atteintes quand le système est en stagnation.
Il peut y avoir des détériorations des revêtements des tubes, ou des joints du collecteur.
Dans un capteur plan bien conçu, rien ne craint ces températures.
Et les systèmes commerciaux à capteurs plans gèrent la surchauffe (ballon à la température max et chaleur solaire dispo) en laissant le système partir en stagnation.
Bien noter qu'il n'y a pas dégradation "immédiate" de l'antigel en cas de surchauffe.
C'est la répétition des cycles de surchauffe qui finit par dégrader le pouvoir antigel.
Cordialement
C'est un problème général aussi sur les capteurs plans.
Pendant l'été 2003, un ensemble de mesures a été mené sur quelques cateurs plans du marché européen.
En stagnation en plein midi en juillet, les capteurs atteignaient tous entre 155 et 210°.
La différence est que les capteurs à tubes semblent supporter moins bien les très hautes températures atteintes quand le système est en stagnation.
Il peut y avoir des détériorations des revêtements des tubes, ou des joints du collecteur.
Dans un capteur plan bien conçu, rien ne craint ces températures.
Et les systèmes commerciaux à capteurs plans gèrent la surchauffe (ballon à la température max et chaleur solaire dispo) en laissant le système partir en stagnation.
Bien noter qu'il n'y a pas dégradation "immédiate" de l'antigel en cas de surchauffe.
C'est la répétition des cycles de surchauffe qui finit par dégrader le pouvoir antigel.
Cordialement