

Modérateurs : ramses, Balajol, monteric, ametpierre, j2c
philippe79 a écrit :sur la discussion pour le stockage batterie : dommage d'avoir vexer le gars qui faisait fonctionner des batteries de récup grâce à des diodes schosttky.
"erdf a accepté". par chez nous, ils ont plutôt du mal à le faire accepter par les clients, ce compteur largement controversé, qu'ils veulent nous imposer, à nos frais.« ERDF a aussi accepté d'installer son compteur communiquant Linky chez les autoconsommateurs, ce qui permettra d'éviter la pose d'un appareil spécifique pour compter les électrons sortants : ces mesures constituent un vrai coup de pouce ! »
Le principe est connu, mais cette application est prometteuse (déjà parlé sur le forum il me semble). Attendre et voir si le rendement global est correct et si le temps de retour de l'énergie grise est acceptable. JL Perrier (encore lui...) en avait déjà parlé dans son bouquin en 1979 avec des recherches aux US.jpallaume a écrit :Bonjour, Vous avez peut être déjà entendu parler ce ce mode de stockage ! http://youtube.com/embed/N2u6EDwumdQ - Bon soleil JPA
@ +- Enfin, l’ordonnance supprime la nécessité d’un double dispositif de comptage des excédents de production qui sont injectés sur le réseau, et dont le coût est significatif dans le cas de petites installations. Le surplus de production pourra être affecté aux pertes techniques du réseau. Le plafond en dessous duquel les installations pourront bénéficier de cette dérogation sera précisé par décret. Il est envisagé que ce plafond soit fixé à environ 3 kilowatts, ce qui correspond à une installation d’autoconsommation domestique.
- Cette dérogation pour l’injection est assortie d’une obligation de déclaration de toute installation de production d’électricité participant à une opération d’autoconsommation. Cette déclaration est en effet nécessaire pour la sécurité des personnels intervenant sur les réseaux de distribution. Les installations existantes participant à une opération d’autoconsommation devront être déclarées dans un délai de neuf mois à compter de la publication de l’ordonnance.