Posté : jeu. janv. 25, 2007 14:41 pm
[quote="olivierd"]
Pour le prise on non compte du cos phi, on mesure toujours moins que ce qui est fourni, sino EDF ne ferait pas la chasse au cos phi avec les industriels .
olivier[/quote]
PAs d'accord car:
http://www.positron-libre.com/cours/ele ... ssance.htm
Il y a donc intérêt à avoir un bon Cos (Cos phi proche de 1 d'où un angle phi petit) car si le Cos phi est petit (déphasage important) pour une puissance wattée donnée il faudra fournir une puissance "S" plus grande d'où une intensité plus grande.
Inconvénient d'avoir un mauvais facteur de puissance
Pour le producteur :
- nécessité d'avoir des alternateurs et des transformateurs plus importants,
- posséder une tension plus élevée au départ de la ligne,
- besoin d'avoir des lignes de plus forte section,
- pertes Joules plus élevées,
- appareils de contrôle, de protection et de coupure plus importants.
Pour le consommateur :
- nécessité d'avoir des transformateurs, des moteurs, des appareillages de manœuvre plus importants,
- tension d'utilisation plus faible,
- intensité plus grand,
- pertes Joules plus élevées,
- rendement des appareils mauvais.
Si le killAWatt oublie le cos phi il mesure U*I en amont du dispositif, alors que ce que le dispositif va effectivement consommer U*I * cos phi.
Si EDF fait la chasse au Cos phi parce que ce que veut le client c'est la puissance en sortie du dispositif (le moteur par exemple) et pour un circuit de 1 kW efficace ( par exemple la scie à ruban de l'atelier de menuiserie) avec un cos phi à 0,5 (60° de déphasage) EDF devra disposer 2 fois plus d'intensité, et de ce fait fournir des cables plus gros.
Avec un circuit totalement reactif, ( cos phi = 0 ) la puissance disponible est nulle alors que le killAWatt non equipé indiquerait une consommation.
Si le KillAWatt n'est pas équipé pour suivre le cos phi , alors il sur evalue la puissance utilisée par le dispositif.
Non?
Pour le prise on non compte du cos phi, on mesure toujours moins que ce qui est fourni, sino EDF ne ferait pas la chasse au cos phi avec les industriels .
olivier[/quote]
PAs d'accord car:
http://www.positron-libre.com/cours/ele ... ssance.htm
Il y a donc intérêt à avoir un bon Cos (Cos phi proche de 1 d'où un angle phi petit) car si le Cos phi est petit (déphasage important) pour une puissance wattée donnée il faudra fournir une puissance "S" plus grande d'où une intensité plus grande.
Inconvénient d'avoir un mauvais facteur de puissance
Pour le producteur :
- nécessité d'avoir des alternateurs et des transformateurs plus importants,
- posséder une tension plus élevée au départ de la ligne,
- besoin d'avoir des lignes de plus forte section,
- pertes Joules plus élevées,
- appareils de contrôle, de protection et de coupure plus importants.
Pour le consommateur :
- nécessité d'avoir des transformateurs, des moteurs, des appareillages de manœuvre plus importants,
- tension d'utilisation plus faible,
- intensité plus grand,
- pertes Joules plus élevées,
- rendement des appareils mauvais.
Si le killAWatt oublie le cos phi il mesure U*I en amont du dispositif, alors que ce que le dispositif va effectivement consommer U*I * cos phi.
Si EDF fait la chasse au Cos phi parce que ce que veut le client c'est la puissance en sortie du dispositif (le moteur par exemple) et pour un circuit de 1 kW efficace ( par exemple la scie à ruban de l'atelier de menuiserie) avec un cos phi à 0,5 (60° de déphasage) EDF devra disposer 2 fois plus d'intensité, et de ce fait fournir des cables plus gros.
Avec un circuit totalement reactif, ( cos phi = 0 ) la puissance disponible est nulle alors que le killAWatt non equipé indiquerait une consommation.
Si le KillAWatt n'est pas équipé pour suivre le cos phi , alors il sur evalue la puissance utilisée par le dispositif.
Non?