Je souhaite étoffer le petit groupe (qui existe déjà en dehors du forum Apper) qui s'intéresse au sujet de l'habitat 100% autonome (thermique et électrique), c'est à dire pouvant ne pas être relié aux réseaux classiques d'énergie.
La voie que nous comptons explorer est celle du stockage inter-saisonnier en utilisant l'hydrogène.
Tous les composants de cette solution existent depuis plusieurs dizaines d'années et elle a été rendue complètement opérationnelle pour l'habitat en 1992, grâce aux travaux du Fraunhofer institute.
J'ai amorcé un petit "état de l'art" sur le site http://www.onebus.fr//hydrogene/index.php
Le gros du travail va consister à faire quelque chose d'équivalent mais à un coût d'investissement abordable pour un individu qui a un salaire normal (j'ignore ce qu'est un salaire normal !)
Tous ceux qui souhaitent apporter leur contribution à ce projet sont les bienvenu, je précise que ce projet est fait dans un cadre associatif.
PS : j'ai casé ce message dans la rubrique "Solaire passif" mais aucune rubrique ne convenait vraiment.

Ajout du 9 juin 2017
Bonjour
Je passe rarement sur le forum.
Je vous rappelle que l'installation présentée sur le site http://hydrogene.onebus.fr fonctionne depuis 1992 et qu'elle a été mise au point par le Fraunhofer institut !
Les questions de prix ne sont liées qu'à la production en masse des composants.
Toutes les technique mises en œuvre dans cette installation (prises séparément) existent depuis des dizaines d'années.
Les questions de sécurité sont abordées sur ce même site, en gros l'hydrogène c'est dangereux comme tout gaz combustible mais pas plus pas moins (selon l'avis des spécialistes).
L'idée d'utiliser l'hydrogène compressé et de rejeter l'oxygène (idée non retenue par le Fraunhofer institut ) n'est pas vraiment bonne, si vous utilisez l'hydrogène seul dans un moteur à explosion (ce que faisait Jean luc Perrier dans les années 80 avec sa Simca 1000), vous produisez beaucoup d'oxydes d'azote car la température de flamme de l'hydrogène est plus élevée que celle de l'essence. Et pour la pile à combustible, ça pose aussi des problème que ne développerais pas ici, n'étant un spécialiste en ce domaine.
Et merci encore pour votre participation.
Yves (Qui travaille actuellement sur des installations solaires "Low cost", capteurs en bac acier collé et ballon ECS électrique transformé par incorporation d'un échangeur en tube annelé inox, avec micro débit et gestion de la stratification du ballon, le tout connecté sur le net)