HelioLaurent IdF puis (40). Que peut-on faire ?
Posté : ven. févr. 15, 2019 10:04 am
Bonjour, Laurent Chevillard, citoyen, en retraite dans qq mois, marketing produits télécom (*).
Que pourrait-on faire pour relancer la filière solaire thermique en déclin depuis l’introduction RT2012 ?
J’ai lancé une pétition candide en faveur du solaire thermique en Décembre 2018.
L’analyse des chiffres (**) des politiques publiques sur les EnR et leur soutien par les ‘affaire du siècle’ montrent clairement une distorsion de marché en faveur de l’électricité, devenant « l’énergie unique « de plus en plus chère sur les 40 années à venir, par substitution du photovoltaïque concentré et éolien au nucléaire.
L’état ou plutôt des hauts fonctionnaires dont les anciens sont passés dans le privé ou cabinets d’avocats d’affaires, guident l’injection de notre argent public en masse (5Mds€/an ; +500M€/an) et l’augmentation de la dette publique, pour une facture croissante des familles sur les 40 années à venir, tout en assurant la promotion d’usages uniquement électriques : par exemples l’automobile électrique, le chauffage et l’eau chaude sanitaire du logement (chauffe-eau thermodynamique, PAC air-eau..). L’inspiration semble être plus le profit qu’une écologie et solidarité efficientes.
Ramené aux 2 usages ECS et chauffage du logement résidentiels (70% des besoins énergie), les objectifs du Ministère pour 2023, exprimés en MWh, montrent 99,5% de priorisation EnR électriques contre 0,05% solaire thermique. Cela ressemble à une distorsion de régulation de marché.
Problème posé : le solaire thermique n’est pas rentable :
Environ 25 à 30ans d’amortissement pour un simple CESI, même optimisé et même en tenant compte de la cherté croissante de la concurrence tout électrique EnR.
L’incapacité de rentabilisation du solaire thermique revient rapidement à se faire traiter de bobo décalé négligeant le besoin énergétique des plus pauvres. Pourtant l’énergie primaire est gratuite et peut en principe restituer du pouvoir d’achat, estimé à 10Mds d’euros par an (***),
Objectif :
Mon inscription au forum Apper, vise à recueillir des idées et conseils auprès d’experts sur la façon d’améliorer l’offre, la rendre plus compétitive, plus connue, et contribuer modestement à redonner une place au solaire thermique en concurrence du 100% EnR électrique.
On peut s’étonner que l’ECS marche dans des pays méditerranéens et dans les Dom dont on suppose le budget familial peu enclin à satisfaire le seul bien-être de la planète. Comment font-ils ? Le mur Trombe ne serait-il pas attractif dans le logement social ? etc..
Outre la politique et la concurrence, un rêve plus personnel futur (2ans), ECS, SSC/plancher chauffant, appoint granulé bois et jolie interface de contrôle temps réel sur PC ou mobile comme certaines réalisations publiées sur Apper. Recueillir des conseils, identifier la bonne solution selon logement futur, en principe sur la région Dax (Landes).
(*) Non expert solaire, j’ai simplement observé la puissance énergétique du soleil concentrée ou non, en 1980, à l’occasion du sce militaire d’ 1 an aux 2 fours d’Odeillo, visite Thémis et visite murs Trombes sur pavillons expérimentaux à Aramon (84). Fasciné, malheureusement la vie pro et familiale ne m'a pas permis de me lancer.
(**) chiffres issus d’une reconstitution personnelle des objectifs EnR 2023 et au-delà, à partir de sources de données publiques diverses. Chiffres et sources sont publiés sur ma page FB, et sur la pétition change org.
(***) l’hypothèse brute du solaire thermique pour 50% de logements, 70% des besoins, 40% à 70% d’apport chaleur solaire, sur une facture annuelle moyenne de 1600€/an en 2018, représente un potentiel de 10Mds € / an de restitution de pouvoir d’achat 2018
Que pourrait-on faire pour relancer la filière solaire thermique en déclin depuis l’introduction RT2012 ?
J’ai lancé une pétition candide en faveur du solaire thermique en Décembre 2018.
L’analyse des chiffres (**) des politiques publiques sur les EnR et leur soutien par les ‘affaire du siècle’ montrent clairement une distorsion de marché en faveur de l’électricité, devenant « l’énergie unique « de plus en plus chère sur les 40 années à venir, par substitution du photovoltaïque concentré et éolien au nucléaire.
L’état ou plutôt des hauts fonctionnaires dont les anciens sont passés dans le privé ou cabinets d’avocats d’affaires, guident l’injection de notre argent public en masse (5Mds€/an ; +500M€/an) et l’augmentation de la dette publique, pour une facture croissante des familles sur les 40 années à venir, tout en assurant la promotion d’usages uniquement électriques : par exemples l’automobile électrique, le chauffage et l’eau chaude sanitaire du logement (chauffe-eau thermodynamique, PAC air-eau..). L’inspiration semble être plus le profit qu’une écologie et solidarité efficientes.
Ramené aux 2 usages ECS et chauffage du logement résidentiels (70% des besoins énergie), les objectifs du Ministère pour 2023, exprimés en MWh, montrent 99,5% de priorisation EnR électriques contre 0,05% solaire thermique. Cela ressemble à une distorsion de régulation de marché.
Problème posé : le solaire thermique n’est pas rentable :
Environ 25 à 30ans d’amortissement pour un simple CESI, même optimisé et même en tenant compte de la cherté croissante de la concurrence tout électrique EnR.
L’incapacité de rentabilisation du solaire thermique revient rapidement à se faire traiter de bobo décalé négligeant le besoin énergétique des plus pauvres. Pourtant l’énergie primaire est gratuite et peut en principe restituer du pouvoir d’achat, estimé à 10Mds d’euros par an (***),
Objectif :
Mon inscription au forum Apper, vise à recueillir des idées et conseils auprès d’experts sur la façon d’améliorer l’offre, la rendre plus compétitive, plus connue, et contribuer modestement à redonner une place au solaire thermique en concurrence du 100% EnR électrique.
On peut s’étonner que l’ECS marche dans des pays méditerranéens et dans les Dom dont on suppose le budget familial peu enclin à satisfaire le seul bien-être de la planète. Comment font-ils ? Le mur Trombe ne serait-il pas attractif dans le logement social ? etc..
Outre la politique et la concurrence, un rêve plus personnel futur (2ans), ECS, SSC/plancher chauffant, appoint granulé bois et jolie interface de contrôle temps réel sur PC ou mobile comme certaines réalisations publiées sur Apper. Recueillir des conseils, identifier la bonne solution selon logement futur, en principe sur la région Dax (Landes).
(*) Non expert solaire, j’ai simplement observé la puissance énergétique du soleil concentrée ou non, en 1980, à l’occasion du sce militaire d’ 1 an aux 2 fours d’Odeillo, visite Thémis et visite murs Trombes sur pavillons expérimentaux à Aramon (84). Fasciné, malheureusement la vie pro et familiale ne m'a pas permis de me lancer.
(**) chiffres issus d’une reconstitution personnelle des objectifs EnR 2023 et au-delà, à partir de sources de données publiques diverses. Chiffres et sources sont publiés sur ma page FB, et sur la pétition change org.
(***) l’hypothèse brute du solaire thermique pour 50% de logements, 70% des besoins, 40% à 70% d’apport chaleur solaire, sur une facture annuelle moyenne de 1600€/an en 2018, représente un potentiel de 10Mds € / an de restitution de pouvoir d’achat 2018