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Posté : mar. juil. 28, 2009 13:34 pm
par gegef6fsk
re moi

au fait dans la taxe carbone
avec les 2800 kg de rejet en moins que je ""fais" par an ...........j'ai droit à quelque chose????????? :roll:

gg

Posté : mar. juil. 28, 2009 19:39 pm
par ringeval
bonjour,
je crois que vous vous plantez;
avec ce statut d'autoentrepreneur, l'on ne peux pas tout faire.Les mêmes règles s'applique que pour la microentreprise, l'entreprise individuelle....Ce n'est finalement qu'un autre regime fiscal.
artuellement, pour s'installer plombier, par exemple, il faut au minimum, un cap de plombier ou 5 ans d'expérience dans cette branche.Et c'est pareille pour toutes les branches du batiment.
ce qui n'était pas le cas, lorsque je m'était installé, il y a un 10°d'année.
par contre, pour faire du solaire, je ne sais pas ce qui est exigé.
thierry

Posté : mar. juil. 28, 2009 20:00 pm
par patoche
Re,
Encore une p'tit goutte pour la route.
Pensez vous qu'au pôle emploi "surchargé" où à la cellule de reclassement on s'pose tant d'questions sur les compétences de tel ou tel candidat ??? Surtout, encore une fois, qu'la mise en place du système est, à mon goût de dispatcher un "gros" volume de chomeurs. :-x
Une nouvelle fois ceci n'est que mon avis......j'attends l'vôtre ;-)
Patoche,

Posté : mar. juil. 28, 2009 21:55 pm
par thermitch
Je peux confirmer les dires de Ringeval (donc contredire ceux de Vile) et lui apporter une réponse ;-)

Pour installer un CESI il faut être plombier => on raccorde de l'eau sanitaire
Pour installer un SSC il faut être plombier/chauffagiste
... et ces professions sont effectivement réglementés.

Donc soit Alain possède un diplôme, soit il fait une validation des acquis de l'expérience s'il a exercé un métier plus ou moins proche ;-)

Patoche, Pôle Emploi n'a rien à voir dans la validation des compétences d'un créateur d'entreprise au moment de l'inscription de son entreprise.
Le mieux qu'ils puissent faire, c'est l'accompagner dans sa démarche en lui proposant les formations nécessaires en cas de besoin.
... et on est bien d'accord : ils ont peu de temps et peu de volonté pour faire cette part de travail :oops:

Pour ce qui est de l'URSSAF (Patrick) : l'(auto)entrepreneur n'a pas le choix de son inscription. Cela dépend de son secteur d'activité.
Certains (profession libérale) ne cotise qu'à l'urrsaf ... les autres cotisent ailleurs en plus.
Mais dans le statut (ou régime fiscal) d'auto-entreprise, soyez rassurés, tout le monde cotise là où il le doit.
Le chiffre que Patrick cite n'a donc aucune valeur en ce qui concerne la viabilité des entreprise en question, leur nombre ...etc.
C'est juste pour situer un secteur d'activité dans la masse

Posté : mar. juil. 28, 2009 22:07 pm
par YvesBr
Bonsoir,
Tant qu'Alain ne fait que son installation, il peut avoir le statut d'auto entrepreneur.
S'il veux faire d'autre installations, il faire attention au chiffre d'afafire. Le statut impose des limites en fonction de la nature de l'activité.
De mémoire, si c'est des services, le CA annuel est dans la limite de 30 000 EUR. Si c'est du négoce, c'est 50 000 EUR. Je en sais pas comment sont traités les cas de dépassement de CA.

Yves

Posté : mar. juil. 28, 2009 22:13 pm
par thermitch
Presque Yves ;-) 32 et 80

Allez, pour que plus personne ne sèche : http://www.auto-entrepreneur.fr/

Et il y a bien d'autres infos sur le waibe :mrgreen:

Posté : mer. juil. 29, 2009 7:45 am
par superplombier
[quote="ringeval"]bonjour,
je crois que vous vous plantez;
avec ce statut d'autoentrepreneur, l'on ne peux pas tout faire.Les mêmes règles s'applique que pour la microentreprise, l'entreprise individuelle....Ce n'est finalement qu'un autre regime fiscal.
artuellement, pour s'installer plombier, par exemple, il faut au minimum, un cap de plombier ou 5 ans d'expérience dans cette branche.Et c'est pareille pour toutes les branches du batiment.
ce qui n'était pas le cas, lorsque je m'était installé, il y a un 10°d'année.
par contre, pour faire du solaire, je ne sais pas ce qui est exigé.
thierry[/quote]
quand je me suis installe en 1984 on me reclamait déja 5 ans d'experiences mais pas de diplome
pour poser du solaire thermich a repondu, j'irais plus loin, poser seulement du solaire est un metier qui n'existe pas.
ce qui fait que l'on peut poser telle ou telle chose vient de son assurance RC et decenale, donc l'assureur va demander les competences avant d'accepter une assurance qui fera que vous ferez tel ou tel metier
on voit bien cela pour les capteur PV ou certain sont obliger de soustraiter la pose n'ayant pas d'assurance couvreur, et les couvreurs de soustraiter aux electriciens

Posté : mer. juil. 29, 2009 9:20 am
par thermitch
[quote="superplombier"]... poser seulement du solaire est un metier qui n'existe pas ...[/quote]
C'est pour ça que la notion prise en compte est le raccordement.
Maintenant si on a un poseur qui ne raccorde rien ... :-?

Posté : mer. juil. 29, 2009 10:55 am
par P7EGPX
Bonjour,
le risque fiscal vient de l'utilisation par notre administration de la notion dite de l'abus de droit qui lui permet (et c'est unique au monde) de procéder à un redressement de droits lorsque, toutes les reglementations ayant ete respectées, il lui apparait que les strucures mises en place avaient uniquement pour finalité de diminuer l'impot à payer...
Ce qui est tout à fait le cas en l'espèce le seul interet du montage (de l'aveux meme de l'initiateur) etant de recuperer du crédit d'impot et de la tva...
Pour se prémunir il faudrait pouvoir arguer d'un autre intéret que fiscal (formation personnelle, essai de matériel ou de technique etc) et etre en mesure de demontrer que c'est l'intéret determinant.
Le risque dans cette affaire c'est un cout juridique supérieur à l'économie réalisée !
Bon Soleil

Posté : mer. juil. 29, 2009 11:22 am
par m_you49
Salut.
Moi, ce que je retiens dans le débat c'est le diapo de Patoche :lol: Merci à lui. On a pas toujours l'occasion de rigoler.
@ +