Re: L'ebook de Laurent SOUEF
Posté : mer. sept. 14, 2022 0:46 am
"Atteindre des niveau de très haute performance énergétique ne me semble pas possible sans passer par des émetteurs basse température, de style Plancher Chauffant Basse Température, murs chauffants... Les coûts sont élevés, nécessitent des travaux lourds et beaucoup de pros manquent de connaissances sur le sujet (et je m'inclus dans le lot)."
Plusieurs remarques :
-des niveau de très haute performance énergétique : Le possible n'est pas une histoire d’émetteur mais bien de conception des batiments. C'est la base des standards passifs, un bâtiment avec des exigences de construction et de performances remarquables, c'est à dire isolation + utilisation optimisée des sources de chaleur passives + étanchéité + ventilation + ... et même dans le choix des appareils ménagers et de l'éclairage. DOnc la priorité absolue c'est de réduire les besoins (on parle par exemple d'être à moins de 50 kWh/ an par m2 en énergie finale avant compensation totale(par exemple photovoltaïque) pour eau chaude + chauffage.
- les émetteurs c'est en second et les solutions ne sont pas simple à résumer lorsque l'on aborde la très basse consommation, on peut dire que l'on retrouve les solutions classiques (PAC, poele... et autre dispositif) et d'autres moins conventionnelles (VMC + résistance chauffante pour une maison / citerne géante + solaire thermique dans du collectif pour passer l'hiver)
- des couts élevés : oui par rapport à un pavillon bas de gamme, mais aujourd'hui on trouve à des prix qui ne sont plus délirants. Il y a un démonstrateur dans la drome pour du passif haut de gamme (en terme de performances) dans le tertiaire à 1 120 €HT/m²SHON.
Ou on peut être satisfait pour cette actualisation du livre c'est que le solaire garde son importance et même devient indispensable au travers du photovoltaïque (compensation des besoins en électricité) et pour la production de l'eau chaude sanitaire type CESI. Pour le chauffage type panneaux solaire et accumulation c'est plus discutable.
Plusieurs remarques :
-des niveau de très haute performance énergétique : Le possible n'est pas une histoire d’émetteur mais bien de conception des batiments. C'est la base des standards passifs, un bâtiment avec des exigences de construction et de performances remarquables, c'est à dire isolation + utilisation optimisée des sources de chaleur passives + étanchéité + ventilation + ... et même dans le choix des appareils ménagers et de l'éclairage. DOnc la priorité absolue c'est de réduire les besoins (on parle par exemple d'être à moins de 50 kWh/ an par m2 en énergie finale avant compensation totale(par exemple photovoltaïque) pour eau chaude + chauffage.
- les émetteurs c'est en second et les solutions ne sont pas simple à résumer lorsque l'on aborde la très basse consommation, on peut dire que l'on retrouve les solutions classiques (PAC, poele... et autre dispositif) et d'autres moins conventionnelles (VMC + résistance chauffante pour une maison / citerne géante + solaire thermique dans du collectif pour passer l'hiver)
- des couts élevés : oui par rapport à un pavillon bas de gamme, mais aujourd'hui on trouve à des prix qui ne sont plus délirants. Il y a un démonstrateur dans la drome pour du passif haut de gamme (en terme de performances) dans le tertiaire à 1 120 €HT/m²SHON.
Ou on peut être satisfait pour cette actualisation du livre c'est que le solaire garde son importance et même devient indispensable au travers du photovoltaïque (compensation des besoins en électricité) et pour la production de l'eau chaude sanitaire type CESI. Pour le chauffage type panneaux solaire et accumulation c'est plus discutable.