Bonjour,
Je suis nouveau sur ce forum,par contre mon envie de me lancer dans le solaire et plus ancien.
Je me chauffe au bois. Donc pour l'hiver, mon ecs est chauffé par le bois ( Ballon 200l avec un serpentin )
Par contre l'été, mon ballon étant bi energie, une résistance prend le relais.
C'est durant cette période que je désire chauffer l'eau sanitaire avec le solaire.
J'ai déjà réfléchi à une modification de mon installation pour pouvoir adapter un système solaire à moindre coût.
- Ajout d'un groupe solaire + panneau et vanne 3 voies.
- Delestage sur une réserve tampon de 1000l en cas de surchauffe. (Tampon 1000l déjà présent dans mon installation chauffage)
Et l'hiver je désire vidanger le solaire, du moins les panneaux afin que l'eau ne géle pas à l'intérieur.
La question : Est ce judicieux de laisser des panneaux vides l'hiver sur le toit ? Risques ?
Par avance merci à toutes les âmes charitables et longues vies aux adèptes des solutions différentes, hors des grandes voies commerciales.
Mick
Vidange capteur tube.
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pascall60@yahoo.fr
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Bonjour.
A la question peut'on vidanger un panneau tube l'hiver: réponse oui.
Maintenant si soleil en hiver, quelque fois très belle journées,= surchauffe dans 1 panneau vide = pas bon du tout.
Pourquoi vidanger l'hiver, et ne pas utiliser l'installe?
Tu peux comme je l'ai fait utiliser la vidange conditionnelle en dessous d'une certaine T° par exemple < à 4°.
Dans ce cas, il faut absolument des tuyaux en pente, pas de coude ou des tronçons avec retenue d'eau.
J'ai donné dans le système.
Depuis j'utilise la recirculation si T° capteur inf à 4°.
arrêt si T° capteur sup à 7°
Par période de grand froid nocturne -8° je recircule 15 mm sous +-12 odres de recirculation.
Contrôlé par une régule adaptée, moi c'est automate, cela marche le jour comme la nuit, et je tourne dès que le soleil pointe le bout de son nez.
Il est vrai que décembre janvier, je ne fais pas de miracle(oise), mais la chaudière s'en contente.
A la question peut'on vidanger un panneau tube l'hiver: réponse oui.
Maintenant si soleil en hiver, quelque fois très belle journées,= surchauffe dans 1 panneau vide = pas bon du tout.
Pourquoi vidanger l'hiver, et ne pas utiliser l'installe?
Tu peux comme je l'ai fait utiliser la vidange conditionnelle en dessous d'une certaine T° par exemple < à 4°.
Dans ce cas, il faut absolument des tuyaux en pente, pas de coude ou des tronçons avec retenue d'eau.
J'ai donné dans le système.
Depuis j'utilise la recirculation si T° capteur inf à 4°.
arrêt si T° capteur sup à 7°
Par période de grand froid nocturne -8° je recircule 15 mm sous +-12 odres de recirculation.
Contrôlé par une régule adaptée, moi c'est automate, cela marche le jour comme la nuit, et je tourne dès que le soleil pointe le bout de son nez.
Il est vrai que décembre janvier, je ne fais pas de miracle(oise), mais la chaudière s'en contente.
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pascall60@yahoo.fr
- Etudiant Solaire
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Bonjour.
Oui c'est comme cela qu'il faut voir ça.
Les tubes sous vide peuvent monter à de très hautes températures.
D'autant plus qu'ils n'ont pas de charge(eau), donc pas de refroidissement.
Il m'est arrivé de monter à plus de 100° et de produire de la vapeur suite à
erreur temporaire de ma part.
Des collègues sont montés à bien plus que çà en des temps très brefs.
Cela conduit à la destruction tout ou partielle de l'isolation des lignes de transports armaflex ou autres.
Vu le prix d'un capteur, je n'ai jamais tenté l'expérience de voir sa tenue au maximum, mais possible destruction de la verrerie(perte du vide), altération du mélange dans le caloduc etc...
Pas vraiment d'expérience dans ce domaine, c'est un peu comme une voiture que tu conduis en zone rouge sur une longue distance, possible qu'elle tienne le coup, mais c'est certain, elle vieillie prématurément.
Oui c'est comme cela qu'il faut voir ça.
Les tubes sous vide peuvent monter à de très hautes températures.
D'autant plus qu'ils n'ont pas de charge(eau), donc pas de refroidissement.
Il m'est arrivé de monter à plus de 100° et de produire de la vapeur suite à
erreur temporaire de ma part.
Des collègues sont montés à bien plus que çà en des temps très brefs.
Cela conduit à la destruction tout ou partielle de l'isolation des lignes de transports armaflex ou autres.
Vu le prix d'un capteur, je n'ai jamais tenté l'expérience de voir sa tenue au maximum, mais possible destruction de la verrerie(perte du vide), altération du mélange dans le caloduc etc...
Pas vraiment d'expérience dans ce domaine, c'est un peu comme une voiture que tu conduis en zone rouge sur une longue distance, possible qu'elle tienne le coup, mais c'est certain, elle vieillie prématurément.
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ametpierre
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- Localisation : st-andré les alpes (04)
il faut éviter de laisser les capteurs vides ss le soleil
je ne comprends pas pourquoi tu aurais des capteurs sur le toit et que tu t'obligerais a les laisser hors fonctionnement à des périodes parfois propices.
sois tu fais drain back si tu veux éviter le glycol, sois tu fonctionnes à basse pression (moi je fonctionne à 1 bar voire moins) en eau glycolé , ce qui revient au même.
je ne comprends pas pourquoi tu aurais des capteurs sur le toit et que tu t'obligerais a les laisser hors fonctionnement à des périodes parfois propices.
sois tu fais drain back si tu veux éviter le glycol, sois tu fonctionnes à basse pression (moi je fonctionne à 1 bar voire moins) en eau glycolé , ce qui revient au même.
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yves35
- Maitre Solaire
- Messages : 1024
- Enregistré le : dim. juin 29, 2008 20:34 pm
- Localisation : Rennes 35
bonjour,
Un peu car dans les circuits fermés (donc sous pression) il y a un circulateur ; à l'arrêt la pression est identique des 2 cotés , lors de la marche il y a surpression(un peu) en aval et depression en amont (ce que vous montre le manomètre qui est en aval). L'eau bout à 100°C , mais on oublie de dire que c'est à la pression atmosphérique ça parait évident car on vit tous au niveau de la mer ,mais si vous décidez d'aller vous faire cuire un oeuf au sommet de l'Everest que devient la règle des 3 minutes pour un oeuf à la coque?La pression atmosphérique à plus de 8000m(environ 0.3 bar) est telle que l'eau bout à 40 °C(de mémoire) , donc votre oeuf va mettre .. un certain temps à cuire. Sauf a utiliser une cocotte minute pour cuire sous pression. Le rapport avec le circulateur? sur sa face en depression sous reserve d'une température donnée vous allez si vous n'avez pas assez de pression créer par dépression les conditions locales de formation de micro bulles de vapeur qui vont se recondenser au contact des palles du circulateur : l'effet est analogue à de petites explosions, le nom c'est la cavitation. Plus d'explication là:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cavitation .
Cela peut je crois s'entendre à l'oreille, je l'ai vérifié en ayant une petite fuite sur mon circuit= baisse de pression, en été=liquide bien chaud ; ça donne un bruit de castegnettes ou un peu comme un moteur qui manque (sérieusement ) d'huile dans les virages secs. Donc un peu de pression pour la survie du circulateur
Mais pas trop. Car dans le circuit (en amont du circulateur en fait pour lutter contre la tendance à la dépression du circulateur (Sigmund , si tu m'entends))il y a un vase d'expansion qui fait X litres. Plus vous mettez le circuit à haute pression ,plus vous diminuez le volume d'expansion disponible et donc pour un service égal il faut un vase plus important.
yves
ce qui est bête c'est de ne pas demander. Il faut un peu de pression mais pas trop.Je sais ce doit être une question bête, mais pourquoi basse pression
Un peu car dans les circuits fermés (donc sous pression) il y a un circulateur ; à l'arrêt la pression est identique des 2 cotés , lors de la marche il y a surpression(un peu) en aval et depression en amont (ce que vous montre le manomètre qui est en aval). L'eau bout à 100°C , mais on oublie de dire que c'est à la pression atmosphérique ça parait évident car on vit tous au niveau de la mer ,mais si vous décidez d'aller vous faire cuire un oeuf au sommet de l'Everest que devient la règle des 3 minutes pour un oeuf à la coque?La pression atmosphérique à plus de 8000m(environ 0.3 bar) est telle que l'eau bout à 40 °C(de mémoire) , donc votre oeuf va mettre .. un certain temps à cuire. Sauf a utiliser une cocotte minute pour cuire sous pression. Le rapport avec le circulateur? sur sa face en depression sous reserve d'une température donnée vous allez si vous n'avez pas assez de pression créer par dépression les conditions locales de formation de micro bulles de vapeur qui vont se recondenser au contact des palles du circulateur : l'effet est analogue à de petites explosions, le nom c'est la cavitation. Plus d'explication là:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cavitation .
Cela peut je crois s'entendre à l'oreille, je l'ai vérifié en ayant une petite fuite sur mon circuit= baisse de pression, en été=liquide bien chaud ; ça donne un bruit de castegnettes ou un peu comme un moteur qui manque (sérieusement ) d'huile dans les virages secs. Donc un peu de pression pour la survie du circulateur
Mais pas trop. Car dans le circuit (en amont du circulateur en fait pour lutter contre la tendance à la dépression du circulateur (Sigmund , si tu m'entends))il y a un vase d'expansion qui fait X litres. Plus vous mettez le circuit à haute pression ,plus vous diminuez le volume d'expansion disponible et donc pour un service égal il faut un vase plus important.
yves
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p_bricoleur
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- Enregistré le : mar. déc. 27, 2005 10:37 am
- Localisation : Rueil-Malmaison (92)
- Contact :
Bonjour,
D'accord avec Yves, on met le minimum pour que :
- le circulateur ait assez en entrée
- le haut de l'installation soit en pression positive
Pour le volume du vase...
Si le vase doit compenser un volume d'expansion utile de x litres de l'installation, pour obtenir le volume total du vase à acheter, il faut environ multiplier par :
(P[sub]soupape[/sub] + P[sub]atmospéhrique[/sub]) / (P[sub]soupape[/sub] - P[sub]initiale[/sub])
En général, P[sub]soupape[/sub] = 3 bar, et P[sub]atmosphérique[/sub] = 1 bar.
Si la pression initiale est 1 bar, il faut un vase (3+1)/(3-1)=4/2= 2 fois plus gros que le volume d'expansion à absorber.
Si la pression initiale est de 2,5 bar, il faut un vase (3+1)/(3-2,5) = 8 fois plus gros...
Et puis plus il y a de pression, plus les organes d'étanchéité fatiguent (joints, etc).
Cordialement,
Thierry
D'accord avec Yves, on met le minimum pour que :
- le circulateur ait assez en entrée
- le haut de l'installation soit en pression positive
Pour le volume du vase...
Si le vase doit compenser un volume d'expansion utile de x litres de l'installation, pour obtenir le volume total du vase à acheter, il faut environ multiplier par :
(P[sub]soupape[/sub] + P[sub]atmospéhrique[/sub]) / (P[sub]soupape[/sub] - P[sub]initiale[/sub])
En général, P[sub]soupape[/sub] = 3 bar, et P[sub]atmosphérique[/sub] = 1 bar.
Si la pression initiale est 1 bar, il faut un vase (3+1)/(3-1)=4/2= 2 fois plus gros que le volume d'expansion à absorber.
Si la pression initiale est de 2,5 bar, il faut un vase (3+1)/(3-2,5) = 8 fois plus gros...
Et puis plus il y a de pression, plus les organes d'étanchéité fatiguent (joints, etc).
Cordialement,
Thierry