bonjour,
j2c a écrit : ↑mer. févr. 17, 2021 10:59 am
Je ne parlais pas de sonde. Mais bel et bien l'efficacité de l'échangeur.
oui mais, en premier lieu ce qui initie le démarrage du circulateur, c'est l'information que donne la sonde. Cette information est directement fonction de la position du doigt de gant . La mise en marche est fonction de l'hystérésis .
On ne connait pas l'état de la stratification dans le volume réchauffé par le serpentin du haut. On n'est cependant pas à l'abri d'un bricoleur génial

qui mettra X sondes espacées d'un cm sur toute sa hauteur de l'échangeur haut avec un sous programme et une bonne dose d'intelligence artificielle avec un sous sous programme prédictif de la consommation pour envoyer juste la dose d'énergie complémentaire dans le haut du ballon (ceci en corrélation avec le prix spot du baril de brent de la mer du nord ..)
Ce jour là ce sera le nirvana, on sera certain que l'échange se fait de façon optimale . Qu'il n'y a pas une parite de l'échangeur qui travaille en décharge comme ça peut être le cas avec l'échangeur solaire.
Est que ça change quelque chose pour l'échangeur fossile? je ne connais pas bien la question faute d'expérience mais en recherchant sur sebasol je suis tombé sur un schéma ou ils utilisent les deux échangeurs pour faire de la stratification active avec le solaire et l'appoint entre dans le ballon directement .
l'installation:
http://www.sebasol.info/realisations.as ... 9&r=&edit=
le plan:
http://www.sebasol.info/public/schema649.pdf
il y a 4 doigts de gant sur le ballon combiné et des tôles briseuse de jet sur les entrées de l'appoint pour éviter de casser la stratification.
Donc il faudrait en savoir plus sur le ballon utilisé par Montéric
yves