Posté : dim. juin 27, 2010 6:17 am
Bonjour,
Quand j'étais gamin j'avais été fasciné par la légende d'Archimède et de ses miroirs géants utilisés pour défendre le port de Syracuse.
Du coup je suis avec intérêt les avancées dans le domaine du solaire thermique comme Thémis ou enviromission.
Mais ces derniers temps avec le développement de l'électronique grand public, et notamment la banalisation des smartphones avec leurs nombreux capteurs, je me demande s'il ne serait pas possible de créer un four solaire à très grande échelle.
L'idée serait de créer des petits miroirs orientables et mobiles (par exemple montés sur des petits véhicules) qui seraient pilotés par ce genre de téléphone.
Les engins seraient contrôlés à distance soit par un ordinateur central, soit par un opérateur humain. Les capteurs du téléphone (GPS, caméra, accéléromètre), devraient permettre une géolocalisation précise (s'il le faut on peut placer des repères optiques un peu partout). Les dispositifs se répartiraient sur une grande surface ensoleillée (plusieurs hectares, pourquoi pas ?) et pourraient concentrer les rayons du soleil en un point quelconque.
L'intérêt par rapport aux installations "statiques" c'est qu'ici on a pas vraiment de limite d'échelle : la surface réfléchissante totale n'est limitée que par le nombre d'engins qu'on peut construire.
Quand j'étais gamin j'avais été fasciné par la légende d'Archimède et de ses miroirs géants utilisés pour défendre le port de Syracuse.
Du coup je suis avec intérêt les avancées dans le domaine du solaire thermique comme Thémis ou enviromission.
Mais ces derniers temps avec le développement de l'électronique grand public, et notamment la banalisation des smartphones avec leurs nombreux capteurs, je me demande s'il ne serait pas possible de créer un four solaire à très grande échelle.
L'idée serait de créer des petits miroirs orientables et mobiles (par exemple montés sur des petits véhicules) qui seraient pilotés par ce genre de téléphone.
Les engins seraient contrôlés à distance soit par un ordinateur central, soit par un opérateur humain. Les capteurs du téléphone (GPS, caméra, accéléromètre), devraient permettre une géolocalisation précise (s'il le faut on peut placer des repères optiques un peu partout). Les dispositifs se répartiraient sur une grande surface ensoleillée (plusieurs hectares, pourquoi pas ?) et pourraient concentrer les rayons du soleil en un point quelconque.
L'intérêt par rapport aux installations "statiques" c'est qu'ici on a pas vraiment de limite d'échelle : la surface réfléchissante totale n'est limitée que par le nombre d'engins qu'on peut construire.