Le capteur de débit à effet Hall (acheté sur aliexpress, alimenté en 5V par la sortie 15 réglée manuellement) fournit 477 impulsions par litre, alors que les entrées 15 et 16 de l'UVR sont prévues pour les anciens capteurs mécaniques VSG passant 0.5 litre par impulsion. Même sans atteindre le débit maximum du capteur (30 l/min), la fréquence de sortie est bien trop élevée pour le mode d'entrée "débit" ou "vitesse du vent". Je maudis TA d'avoir mis seulement des entrées polyvalentes quasi identiques par gestion logicielle, donc toutes trop lentes pour des signaux numériques rapides, alors que les microcontrôleurs performants ont des timers avec fonction capture depuis 30 ans !
Je vois trois possibilités:
- baisser la résolution en divisant le nombre d'impulsions avec un compteur (circuits intégrés numériques 7490/92/93 ou programmable GAL16V8)
- faire un convertisseur fréquence->tension vers une entrée analogique en 0-5V ou 0-3.3V
- faire un vrai capteur sur bus DL avec un microcontrôleur: c'est assez compliqué sur ce bus auto-alimenté, avec un codage Manchester à 488 bit/s. J'avais déjà réussi le décodage des trames DL et interrogations/réponses d'un capteur DL avec un simple AT89C2051, mais sans analyseur logique je n'avais pas persévéré pour renvoyer avec le bon timing une valeur d'entrée DL à l'UVR. Le FTS-DL de TA utilise un PIC16F690, mais pour la conception d'un nouveau capteur je commencerais avec un module Arduino micro ATmega32U4 qui a plus de timers et des interfaces UART/SPI/I²C/USB, ou pour rester sur l'architecture Intel 8 bits 8052 que je connais mieux un DS89C430 et si ça marche bien sur AT89LP4052
Si certains ont déjà utilisé (ou prévu) des débitmètres autres que ceux de TA, qu'en pensez-vous ? Merci de voter pour votre solution préférée